25 décembre 2007

Dans le temps des fêtes...

Je me permets de consacrer beaucoup de temps pour penser ces temps-ci, ça et m'entraîner ici et là en attendant d'avoir un emploi, pratiquer de mes instruments, etc.  Ainsi, j'ai fini par énoncer une suite des concepts se rapportant à chaque CD de Radiohead, ceux qui voudront me contredire ou apporter des nouvelles thèses, vous êtes les bienvenus, car je ne connais pas autant le groupe que d'autres, mais je dois dire qu'elle est en haut de la moyenne héhé.  Je n'ai pas inclu tous les EP, les B-Sides ou les Live, car je ne peux pas vraiment discerner de pattern dans 2+2=5 (COM LAG) et Airbag EP, les deux que j'ai (Kack, Andy, Léah, Chénard et tous les fans de Radiohead qui me lisent, considérez ça comme un cadeau de Noël... désolé!).  De plus, je vous promets que j'écrirai la deuxième partie des aventures du personnage innommé dans peu de temps, au moins j'ai les deux prochaines scènes dans la tête.

- Pablo Honey: Premier album qui traite de soi comme de la merde (Creep, Anyone Can Play Guitar).
- The Bends: Deuxième album qui traite des autres comme de la merde (Fake Plastic Trees, The Bends).
- OK Computer: L'homme qui se fait dépasser par la technologie et par la rapidité de la société en 1999, juste avant l'an 2000, le nouveau millénaire (Fitter Happier, No Surprises, Airbag).
- Kid A: Quelqu'un qui regarde un désastre horrible se dérouler de loin (Ainsi est née la pochette) (Idiothèque, Optimistic).
- Amnesiac (Appelé Kid B par les fans): Quelqu'un qui vit les traumatismes de ce désastre horrible (Ainsi est également née la pochette) (Packt Like Sardines in a Crushd Tin Box, Like Spinning Plates).
- Hail to the Thief: Le groupe dénonce clairement des intérêts politiques amoraux (We Suck Young Blood, A Wolf At The Door, Myxomatosis). 
- In Rainbows: Le vide personnel, la sensation de no-future marque beaucoup cet album, revenant à un OK Computer actualisé pas pour traiter de la société qui dépasser l'individu, mais pour l'individu qui se dépasse lui même (Weird Fishes/Arpeggi, Nude).

De plus, j'avais pensé tantôt, pendant la messe de Noël, à une nouvelle religion qui aurait parfaitement du sens à mes yeux, et qui serait peut-être une source d'argent future... OK, je m'explique.  Le jour de la naissance du Christ, les anges apportèrent la bonne nouvelle en disant aux bergers qui gardaient leurs troupeaux que le Sauveur naîtra dans une mangeoire dans la cité de David, Bethléem.  Ils trouvèrent donc la Vierge Marie, Joseph pis toute l'étable autour d'un bébé, mais imaginez qu'il y avait une autre mangeoire, cette étable occupée par une prostituée qui donnait naissance à son propre nourisson, le véritable sauveur, fils du peuple, fils de personne.  Ainsi on aurait loué le mauvais prophète pendant plus de deux mille ans, mais hé, c'est ce que les musulmans et les juifs essaient de nous dire aussi, alors, battez-vous quoi.  Tuka... moi je continue de rien faire dans mon petit coin de... village et je vous dis au revoir, et joyeuses fêtes à tout le monde!

-Jack- J'écoute: In Rainbows, ça me détend et ça me trouble, fouillez-moi pourquoi.

12 décembre 2007

Une histoire qu'il faudrait que je concrétise un de ces 4, partie 1

Je m'installe aujourd'hui dans un béatitude de fatigue pour écrire un peu, en fait écrire le premier volet d'une histoire à laquelle je tiens personnellement... mais que j'ai jamais réussi à mettre sur papier... enfin sur écran. Enfin, ni le petit, ni le gros, mais le mien.

Donc... je vous présente un réci mi-autobiographique, mi-comédie romantique, mi-thriller, mi-drame, mi-plein d'affaires, et de plus avec deux fins possibles... que j'vais essayer d'inclure. Bon, essayons de faire quelque chose de constructif... Hop! Appréciez!

Je marchais à pas rapides, nerveux, en m'approchant de ma cible. Elle vérifiait quelque chose dans son cartable, un je ne sais quoi qui la rendait si vulnérable, si agréable à l'oeil que j'en souriais, instinctivement. Elle me vit arriver et posa son matériel par terre. Elle se releva et nos regards se croisèrent, s'entremêlant dans les sentiments que chacun devinait dans les yeux de l'autre. Je levai mon bras pour caresser sa joue. Elle détourne sa tête. Je fais la moue, elle m'entrevoit, et se retourne vers moi, sourire à la bouche. Je retourne ce beau sourire, et j'ouvre ma main droite, lui montrant ma paume droite. Étonnée, elle la regarde. Elle lit, écrit au stylo par moi une heure auparavant, "Je t'aime.". J'ouvre ma main gauche. Elle se tourne et lit "Et toi?". Elle me regarde, insistante, et répond d'un oui des lèvres, laissant juste l'air sortir de sa bouche, ne faisant aucun son. Je prends ses hanches. Je lui donne un bisou sur le front. Je lui donne un bisou sur le nez. Je lui donne un bisou sur la joue. Elle comprend où je veux me rendre, et ferme les yeux. Je lui donne donc mon premier baiser.

Je me réveille en sursaut au milieu de mon lit, portant mes doigts à mes lèvres pour m'assurer que j'avais bel et bien rêvé. Haletant, je jette un coup d'oeil autour: rien. Juste ces vieux murs blanc que j'apprivoise depuis 2 ans. Tout en reprenant mon calme, j'enserre mon coeur de ma main pour ralentir son affolement, et je me rends compte une fois de plus que je ressens. Que j'ai des émotions. Que mon coeur qui battait à tout rompre il y a quelques secondes de cela ressent des vapeurs de ce sucré amer caractéristique de l'amour, cette fille que j'ai laissé à un océan d'ici après ma supposée mort. Ces rêves empoisonnent mon existance, et malgré toute cette liberté que j'avais acquise, je suis encore enchaîné à ma ville natale. Et ça par une simple femme. Bordel. C'est décidé. Je quitte cet appartement. De toutes façons Amsterdam commencait à lentement m'empoisonner, tout comme mon boulot au pub avec mon patron acerbe et les clients tous pareils. Je retourne à mon berceau régler cette petite faiblesse une fois pour toutes. Je repense à mes souvenirs d'elle avant mon départ. Je l'ai vue pleurer à mon enterrement. Je l'ai vue faire mon deuil. J'espère qu'elle va me pardonner après tout ce temps, sinon au moins oser me reconnaître.

... Bon! Première partie de finie. Il faut que je trouve une manière d'expliquer sa "mort" avant la prochaine fois, mais j'en ai une bonne idée la. Anyway, il faut que je tapisse un peu l'histoire aussi, mais pour un bon texte, il faut du temps... alors soyez patients si vous aimez ça.

En passant... toute ressemblance à des évènements de mon passé est strictement fortuite et introduit dans ce texte à cause de leur habileté à encore me faire titiller maintenant.

-Jack-