29 janvier 2008

Diflucortolone...

Si je peux me permettre de dormir ce soir, c'est parce que j'écris ce contre essai étant, justement, mon argument opposant qu'est-ce que j'avais écrit auparavant, car je ne suis pas totalement de cet avis, car j'ai incroyablement espoir en l'amour, mais, c'est compliqué disons.  Revoici l'énoncé:

On se rend compte que l'amour commence à exister lorsque le plaisir de la présence se met à creuser la place d'un manque.

Dédié à tous ces sourires qui m'ont déjà fait pleurer.  De joie.

Je réfléchis et c'est mauvais pour cet essai, car mâcher ses souvenirs rend l'amour amer, mais c'est en se souvenant de tous ces bons moments que le plaisir de SA présence rend la vie tellement plus belle, et comment SON absence creuse un fossé entre... fuck it, je ne suis pas capable d'écrire de choses de même sans être véritablement dans le mood, sinon ça sonne juste... faux.  Donc, il faudra se baser sur ma bonne foi sur celle-ci, car j'adore l'amour, et c'est peu dire.  Et juste que ces temps-ci, disons que si l'amour me botterait le derrière, je le prendrais encore pour un ami sans faire exprès, vous comprenez?  Donc... assez de ces histoires, l'amour c'est cool, pis un point c'est tout!

Pfffff je suis tellement un paresseux!  Pas capable de se forcer pour écrire quelque chose de beau!  Tukaa... j'ai d'autres chats à fouetter disons (mais d'où a bien pu venir cette expression) et des yeux dans lesquels je dois me noyer, donc, au revoir, pis j'espère que la prochaine (Prochaine quoi, Jack?  Benn... je sais pas moi, la prochaine journée peut-être?) va être un peu plus constructive...

-Jack- J'écoute: The Mars Volta.  Encore.

28 janvier 2008

Journée internationale des mésentendus...

Bon... après une journée pleine de mots mal empilés un après l'autre, comme ces derniers mots furent un brillant exemple, mais tuka... bon, le concept de ce post c'est qu'en français, il fallait écrire un mini-essai sur une citation tirée d'un film traitant justement, des essais.  Donc voici l'énoncé:
On se rend compte que l'amour commence à exister lorsque le plaisir de la présence se met à creuser la place d'un manque.

Kess ça dit en général c'est que plus qu'on aime quelqu'un, plus que son absence se fait sentir.  Donc voici l'essai sur la question, que j'écrirai en italique pour créér une impression de manuscrit, et je dois avertir les gens au coeur sensible, c'est très, mais TRÈS pessimiste:

Une question que personne, à travers les années, s'est demandée est si l'amour, après tout, existait vraiment.  Tous l'ont vanté ou l'ont maudit, sans analyser vraiment cette bête qui mange nos entrailles jour après jour.  On peut dire que l'amour n'est qu'une juxtaposition de sentiments, une illusion causée par les limitations de notre cerveau reptillien.  Ainsi, des générations de poètes et d'intellectuels ont créé des termes permettant d'associer ces amalgames à un concept: amour, adorer, doux, amer, romantisme, mélancolie.  Cette capacité de nommer ce qu'on ressent est la seule chose nous séparant des animaux, car, avouons le, l'amour est une impression bâtarde et imprécise, causant l'illusion de béatitude et le malheur de la multitude.  Malgré tout, les efforts faits pour contrôler ou contrecarrer cette faiblesse ont tous été des échecs, l'espèce humaine vouant ainsi sa perte à l'amour qu'il a consenti aux mauvais individus.

L'être humain est un trou noir, un fossé à remplir continuellement qui, malgré totue la crasse qu'on déverse dedans, reste vide la plupart du temps.  Qui, qui est la dernière personne qui vous a dit qu'elle était comblée?  Justement, personne.  L'amour est ainsi une drogue, si on y goûte une fios, on y reste accroché, demandant toujours pour plus.  Ce n'est pas pour rien que des condoms traînent côte-à-cote d'autres déchets de la société tout aussi représentatifs de la décrépitude, les seringues.  Ainsi, juste au bout de plusieurs mauvaises expériences et de problèmes dans notre entourage se permet-on, tout comme des drogués ou des alcooliques atteignant le fond, de se séparer de cette pratique.  Nous élevons ainsi une génération jouissant de trop d'amour, se complétant dans un abcès social qui verra sûrement le déclin de l'espèce humaine après la surexploitation de ses ressources, et qui ne pourra rien faire contre cette chute.

Et c'est pour cette raison que j'ai arrêté d'écrire, du poison sortant continuellement de mes mots à chaque fois que j'essaie de parler de passion, car l'amour est une carie, une gangrène, un mal incurable qu'on ne fait que boucher temporairement avec ce qu'on peut.  Des effets se font ainsi sentir sur tout notre corps, transformant notre nectar quotidien en fiel.  Au grand malheur de l'hôte.

Bon!  Assez de trucs désespérants!  Ce qui m'emmerde le plus, c'est que je suis d'une humeur parfaitement normale, mais dès que je me mets à réfléchir, ça se met à descendre dans des méandres personnelles... tuka... jvous souhaite une bonne soirée, car moi, je dois aller dormir!

-Jack-  J'écoute: Modeselektor.

16 janvier 2008

De ces histoires qu'il faut que je finisse plus tôt qu'à 4h du mat', partie 2

Bon... quelques nouvelles me concernant.  (...)  Maintenant on peut passer à autre chose, comme comment écrire en écoutant du Mars Volta si tard dans la nuit est vraiment une chose difficile à faire en même temps, surtout si vous êtes nés avec un cerveau bâtard comme le mien.  Vous voyez, l'insulte rejoint l'utile, tout comme on dit que le coeur est en fait gros comme un poing.  Hehe.  Sur une note plus sérieuse et à l'écart des métaphores douteuses, je suis content de vos canditatures au concours d'insultes... et je me suis dit... fuck les catégories que j'avais imposé, jvais juste avoir un gagnant pour ce concours, et je nomme sans rancune Zéa!  Ce commentaire si pertinent me fait encore rire, combinant *tant* d'émotions dans une seule phrase.  Peut-être que j'exagère un peu, mais bon... c'était drôle!  Et merci aux participants!

J'écoute en ce moment un délicieux délire guitaristique de John Frusciante (Clin d'oeil Andy) dans Mars Volta.  Bordel faut que j'arrête de mettre des références musicales/amicales dans ce blogue.  C'est sérieux comme blogue damoiseaux et demoiselles!

Si vous avez des plaintes sur le choix de la gagnante... amusez à m'insulter encore plus, ça vous gagnera peut-être une raison d'être... qui serait aussi récompensant que se dire que finalement, c'est la queue qui essaie d'attraper la tête, comme le rêvent la plupart des hommes de cette planète. Hehe.

*Message important*
Le comité de censure des mauvaises métaphores a entrepris des démarches pour capturer ce malfaiteur qui entreprend de proposer d'aussi mauvaises comparaisons et essayant de rendre son blogue plus divertissant.  Finalement les tentatives de cet homme borgne, sans-défense et dangereusement armé de blagues aussi crapuleuses qu'un bébé essayant de voler un suçon à un adulte.

*Message important*
Le responsable de ce message au comité de censure des mauvaises métaphores à été renvoyé dû à l'usage abusif de comparaisons douteuses.  Merci de votre compréhension.

3e paragraphe du texte:

Le bateau cargo tanguait dangereusement cette nuit, mais hé, c'était la façon la moins dispensieuse de traverser l'Atlantique sans problème.  On tend une liasse de billets à ces mecs et ils te feraient n'importe quoi.  Enfin... à part te trouver une chambre comfortable.  Les remous de la mer me firent sortir de ma cabine et monter sur le pont, à regarder la mer, les étoiles... bon, plus les nuages.  Un homme dans la soixantaine qui a également graissé le capitaine pour le mener à bon port me rejoint.  Je ne me tourne pas, ayant reconnu d'une gifle du vent son cologne qui sent à des kilomètres.  Je lui lança alors un copieux "Salut".  L'homme répondit avec un français cassé caractéristique des slaves. 

- Bonsoirrr... cigarrrette?, dit il en me pointant avec ses Gauloises.
- Non merci...  bizarre, je ne savais pas que cette marque existait ailleurs qu'en...
- Frrance?  Monsieurrr connait bien ce qu'il n'utilise pas!  Vous connaitrre bien les femmes?  Hahahaha!
- Oui... disons que c'est mon boulot... de tout connaître.
- Ahhhhh... monsieurrr a aussi sens de l'humourrr.  Disons que... j'ai ma... mhhh... rréserrrve perrsonelle de tabac.

Je sentis aussitôt qu'il ne fallait plus que je pose de questions sur comment il obtient ses petites cigarettes, et que malgré la tendance générale que le tabac adoucit les moeurs, je n'allais pas adoucir ce vieux de la vieille.

- Donc vous jeune homme, vous allerrr Amérrique pourrrquoi?
- Disons... renouer avec mon passé.
- Ahhhhh... différente mentalité, vous et moi... Pour moi Amérrique terrre du futurrr.  Je ne vais pas pour retrrrouverr passé, mais pour oublierrr.
- C'est justement ce que j'essayais de faire chez vous.  Enfin... proche de chez vous.
- Bah Eurrope vieux monde maintenant!  Tout même monnaie, peuh!  Plus de marrché!  Si passer marrchandise noir toute ma vie, passer marrrrchandise noir tout reste de ma vie, non?
- Si vous êtes encore vivant, j'en déduis que vous deviez être bon.
- Encorrre bon!
- Oui, oui... vous devez être bon.
- Cigarrre?
- Ah ben cette fois-ci, je ne dirai pas non...
- De la parrt du bon Vadim... qu'est-ce qu'on dit jeune homme?
- Euhh... merci.
- (...)
- Alors... vous pourquoi vous êtes réveillé?
- Moi fairre maintenant parrtie âge pas avoir besoin sommeil.
- Donc... ce qui fait de moi l'âge qui dort mal.
- Hahahaha!  Humourrr!
- Euhhh... ouais.

Et on termina de fumer nos cigares dans le silence.  Malheureusement, notre navire fut accosté le lendemain par des gardes-côtes qui avaient un prix sur la tête de Vadim.  À voir leurs têtes, ils n'étaient sûrement pas employés du gouvernement, et malheureusement, mon seul ami russe jusqu'à maintenant était maintenant chose du passé.  Une chose est sûre, maintenant je pourrai profiter en paix de sa réserve de cigares, et j'espère que je pourrai échanger ses cigarettes contre un repas convenable sur ce rafiot.

-Jack- J'écoute: We looked like giants - Death Cab For Cutie

P.S.: Finalement j'ai fini d'écrire à 5h50 du mat', et finalement j'écoute 3030 - Deltron 3030.  Et je me dis qu'il ne faudrait pas que j'update ce post à chaque fois que je change de toune.

6 janvier 2008

Un concours, juste de même...

Pendant que je prenais ma douche, je me suis rendu compte que tout ce qui passait par ma tête était composé d'injures et de mots vulgaires... alors j'ai composé avec une certaine vision un concours.  La phrase: Jack, espère de "..."  Ok le truc c'est de m'insulter de deux manières, soit humoristiquement, soit de la manière la plus méchante et personnelle possible.  J'accorderai des prix dans chacune des catégories, pis spécifiez dans quelle catégorie que vous vous inscrivez, ok?  Ben... amusez vous bien à m'envoyer des insultes dans les commentaires, pis j'vous enverrai les prix dans pas long...

-Jack- J'écoute: We only sing of blood and love - Dax Riggs

4 janvier 2008

Regardez l'heure, pour le plaisir.

Bon.  4 heures de mat' et qu'est-ce que je pourrais faire.  Ah oui.  Continuer de me plaindre?  Au fond, se plaindre c'est tellement réconfortant, ça donne chaud au coeur, mais temporairement et artificiellement, un peu... comme une plinthe électrique quoi!  Mais finalement on se rend compte de la vérité - c'est juste notre esprit qui est mal isolé.

(Silence inconfortable)

C'est ça qui arrive quand je réfléchis trop.  Des métaphores d'étudiant en techniques de l'architecture.

Bordel maintenant le Cégep qui rapplique!  J'HAÏS LES ÉTUDES!  Se concentrer sur un point en particulier m'emmerde, et c'est pourquoi je ne suis pas capable de finir, pour l'instant, mon texte que j'avais commencé il y a de ça quoi... 2 semaines?

Et non, je ne suis pas saoul.  C'est pathétique.

Je me suis dit... pourquoi mon but dans la vie ça serait pas quelque chose comme... emmerder les gens.  Je serai peut-être pas une première dans le genre, mais au moins, je serais quelqu'un qui l'affirme, quelqu'un qui en ferait son boulot et une business convenable, qui gagnerait sa vie à emmerder.  Putain, je pense que ça existe déjà.

En passant, les filles, j'ai trouvé la meilleure manière de passer un régime sans souffrir de choses comme... la faim.  Le truc, c'est se réveiller horriblement tard, comme à 16h ou plus.  Ainsi, sans le savoir, vous sautez le déjeuner et le diner!  Incroyable non?  À moi les milliards!

Bon... c'est mon lot de réflections imbéciles du jour, imaginez si je les notais toutes.  Un beau recueil de risibilité.  Tuka... temps d'aller me coucher, bordel.  Et finir cette putain d'histoire un de ces 4.  Et trouver un titre.  Et trouver une blonde (facultatif).

-Jack- J'écoute: Girl From Mars - Ash