3 juin 2007

Chroniques du sourire incessant.

Donc... me voici qui va partir à Québec pour trois ou quatre jour faire des travaux de terassement, et malgré tout j'ai un mal de tête à me fendre le crâne. Bon, pour vous justifier quatre jours d'absence de posts, je vais vous dire ce qui s'est passé au cours des trois derniers jours... c'est-à-dire vendredi, samedi et dimanche. Un bon échange? Ouais, d'ailleurs, je vois pas comment vous pouvez contester. Vous voyez bien que même si je suis à 300 kilomètres d'ici, je conserve quand même mon pouvoir, héhé.

Vendredi: Le matin, je suis allé au Paul une autre journée afin de pouvoir refiler de l'argent à quelqu'un pour avoir des billets de bal, et qui ai-je trouvé? Marie-Audrey pis Erika! Merci les filles, maintenant je peux y aller avec ma belle balleresse... euhh... ben cavalière ça se dit mal, non? Ok... ben une fille yeah! Le temps de dire allo aux gens de la Click pis je pars au conservatoire vedger jusqu'à 8 heures mais heureusement que Gabrielle ne faisait rien avant sa job, on a pu aller à la Brûlerie jaser un peu. En l'attendant, j'ai pu aller acheter le nouveau CD de Feist, bonheur. Pas encore eu le temps de l'écouter, parce que j'ai un méchant trip de Brand New et d'emo en général ces temps-ci (Wowowowo... pas du Chemical Romance, mais plutôt du VRAI emo, genre Brand New, Muse, genre avant que ce soit infecté par la mode emo. On reconnait les vrais emos à leur absence de look.) C'est fou le nombre de personnes qu'on peut rencontrer un vendredi soir à la brûlerie, juste en attendant Gabrielle pour comme 15 minutes, j'ai pu apercevoir 3 de mes amis, sans parler de tous ceux que j'ai vu plus tard. Anyway, j'étais là pour attendre d'aller au party à Laurence, qui a repris avec Dumais, joie! Mais sérieux c'était vraiment le fun, pis je sais pas pourquoi (sûrement à cause de la pomme... vive les pommes) j'avais un sourire incontrôlable. C'est le premier party depuis longtemps que je me laisse vraiment aller, finissant ma bouteille de brandy le temps de dire "C'est la seule bonne chose que les français ont fait, à part le vin." et retrouvant cette bonne vieille sensation de perdre le contrôle sur tout, nous laissant guider par notre absence de bon sens, et trouvant que tout est confortable, cette joie d'enfant insouciant... ouais c'était un sentiment que j'avais manqué.

Le lendemain, samedi, je me réveille dans un divan en train de me les geler bien raide, réveillé à 7h30 du matin par Alex qui s'en allait, comme tout le monde, allant dans un camp quelconque s'entraîner pour être moniteurs. On alluma copieusement l'aspirateur pour enlever le seul shooter qui a été cassé de tout le party, à 7h45 du mat' héhé. J'ai jamais aussi haï les appareils électriques de toute ma vie, mais bon, lève toi gros balourd. J'ai dit au revoir à tout le monde, appris que Jean-Max est parti chaud à 3h du mat' en vélo pour Sacré-Coeur (J'espère qu'il est encore vivant à ce jour) et je suis parti en direction du Zellers pour mon lift quand on a commencé à parler de la virginité des soeurs. Unggghh. Épicerie dans un état second. Retour à la maison, fatigué, je commence à gosser après les tracteur pour le remettre en état pour l'été, mais terrassé par la fatigue, je reviens à l'intérieur pour copieusement m'endormir sur un divan. Pas grand chose d'autre qui se passe dans la journée, souper dodo.

Aujourd'hui, dimanche, je me réveille et je commence véritablement à travailler sur le tracteur en enlevant la souffleuse (Merde que c'est lourd), en graissant toutes les parties (aucune connotation) et... merde! C'est vrai j'ai une gig avec Étienne à 2h, donc j'me rends chez lui à 1h pour apprendre une pièce en 5 minutes, et ensuite se rendre aux soeurs, juste pour se rendre compte que c'est pas de la musique d'ambiance qu'on va faire, mais bien UN CONCERT. Le cauchemar de tout gars qui fait des gigs. Des filles itou en fait. Anyway, les soeurs ont super bien apprécié nos duos de Mazas (tout bon musicien devrait commencer à rire... ici) et on a eu droit à des jus et crudités avant de repartir chez moi, pour gosser sur le tracteur encore plus, comme pour installer la tondeuse, qui, merde, était aussi lourde que la souffleuse. Sans parler de la population de mouche qui s'est mobilisée contre moi pour que je ne coupe pas d'herbe de l'été. Je sens encore l'huila à mouche après ma douche. Je suis rentré, triomphant, ayant l'air d'un cliché d'orphelin avec mes shorts, mes pieds nus et ma face/torce complètement tachés de terre et de cambouis. Un Oliver Twist métis. Tuka, maintenant que ça c'est fait, je dois faire mes bagages pour Québec, ce que je devrais commencer, non?

À jeudi!
-Jack-

J'écoute du : BRAND NEW!

1 commentaire:

petit.prince a dit...

vive les party le jour d un lendemain de veille....vive les gueules de bois duent aux lendemain de veille des lendemains de veilles.....pis merde que j suis tanné de mazas mais tk.....$$$$$:D