Je reviens de ma première journée officielle de semaine de relâche, et finalement c'était une journée pas mal officieuse, entouré au conservatoire de vestons-cravates tandis que j'essayais difficilement de... survivre quoi. Je me demande pourquoi tout le monde s'inquiète pour un manque d'appétit, car quand on a pas envie de quelque chose, on le fait juste pas, mais dès que ça touche un besoin essentiel, tout le monde capote. Au moins, j'essaie demain d'avoir des pensées plus positives avec le pep talk que Raph m'a lancé ce soir, et je dois dire qu'il a raison, mais ça prend du bon genre de tripes pour surmonter ce qui me rentre dedans ces temps-ci. J'ai l'impression de ne plus rien avoir, mais en fait, il me reste encore beaucoup. Comme... euhh... mes CDs! Anyway... j'dois me reposer pour une lourde journée demain... alors salut!
-Jack-
29 octobre 2007
Je n'ai plus besoin d'aide pour me noyer.
Aujourd'hui j'ai senti le désespoir, le vrai, qui joue avec vos sens et que vous sentez monter dans vos membres, comme si la mort elle-même vous avait choisi. Je ne vis plus. Mon seul salut s'est envolé en fumée. Je me meurs. Je ne peux pas pleurer, malgré mon coeur tiraillé entre deux corbeaux, se séparant ce qui me reste de bon sens. C'est le gouffre, l'abîme, la fin des temps qui m'encercle. J'ai froid, mais c'est un froid intérieur qui envahit mes alentours. Je veux être nulle part. Je veux être personne. Je veux juste arrêter de souffrir, de penser, d'aimer. Une fois de plus, la vie m'a trahi avec un sourire. Une fois de plus, je me suis fait berner par moi-même, rêvant d'un avenir. J'éloigne le présent et je m'ensable dans le passé. Poison où es-tu, qui me permet d'oublier mes sens et de lentement m'éteindre sans me tuer. Je ne sens plus rien. Je ne vaux plus rien. JE VEUX DISPARAÎTRE. Des sanglots traversent mes veines et restent enfermés sous ma peau où ils grandiront pour créér un monstre hideux qui deviendra bientôt moi-même. La lumière est fade, la vie est grise, mes raisons de vivre se sont écroulées comme un château de cartes, le souffle provocateur venant de celle à qui j'aurais donné ma vie. La pensée, ce que j'ai appris ne me fait que maudir de plus en plus ma naissance, ma croissance en ce être difforme. Je suis épuisé. Je... je ne sais juste plus.
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24 octobre 2007
De ces idées...
J'ai une de ces idées d'histoire que j'écrirerai pendant que... j'aurai le temps quoi! Sûrement pendant la mi-session, mais pour l'instant, c'est le sommeil et le party, donc... un avant l'autre, quoi!
Bonne nuit la,
-Jack-
Bonne nuit la,
-Jack-
18 octobre 2007
In Rainbows...
Je sais pas, ça me tentait juste d'écrire un post impromptu, tout de suite, la, pour le plaisir, parce que pour l'instant, à part mes notes d'école qui dégringolent de plus en plus à chaque jour à cause de profs incompétents (je m'ennuie de vous, Annick, Annie, Suzanne et tous bon profs que j'ai eu avant!) et, je dois dire, dans UNE matière (physique), à cause d'un étude insuffisante. Je suis en train de finir l'analyse de mon laboratoire de physique avec lequel j'ai compris comment utiliser Excel, mais bon. J'écris parce qu'à force d'écouter du Radiohead, je me sens AMOUREUX! Hahaha ouais je suis content tout d'un coup, heureux de tout tout tout.. juste exprimer ça au reste du monde ouais... Tuka... assez écrit, faut que je finis mon laboratoire pis que je fasse les CDs de demain pour la radio, mais bon... c'était une émotion de courte durée, sans fondement non plus... à part Radiohead. Donc... salut!
-Jack-
-Jack-
15 octobre 2007
En bonne compagnie...
Je suis dans la merde. Bon ouais j'me plains encore blablablabla, mais je me plains au fond de moi-même, parce que c'est moi qui ne fait rien! Bahhh... cette fin de semaine a été bien peu productive, enfilant des pratiques d'orchestre, des quilles, un party et finalement du brettage sur Halo... ouais je sais, c'est la honte. Si ya des filles qui lisent mon blogue, ouais c'est un peu honteux de dire qu'on joue à des jeux video, mais trouvez un gars qui n'y joue pas... mais avant tout, je favoriserais ma blonde, ne vous inquiétez pas... si seulement j'en avais une. Bon! Plus de plaignage! Ouais, l'orchestre... je dois dire qu'on commencer à torcher mal sale à la contrebasse... ben au moins à connaître les notes. Les quilles, putain que je suis le pire des nazes... au début j'avais réussi à avoir un score convenable, genre 80+, mais à la deuxième ronde, j'ai fait un score *minable* de 22! Je checkais une ptite de 8 ans à côté de moi pis à la moitié de son match, elle avait déjà 34. C'est dans ces temps-là qu'on se rend compte de comment... ben... comment je suce au bowling! Anyway... le party c'était chum... tout le monde est parti a 2h du mat', mais ça m'a permis de me reposer après une semaine chargée à rien faire et me coucher tard, et ainsi j'ai eu la plus longue nuit de la semaine, de 2h30 à 10h... super! En passant, bonne fête encore Andy! Au moins tes cadeaux m'ont permis de tester mes skillz de peinture à l'émail sur des CDs... je suce à peinturer itou. Oh... pendant que j'y pense, j'ai quelque chose à vous partager. J'HAÏS L'AUTOMNE! Bon maintenant que ça c'est mis de côté, il est temps que je travaille mes maths, que je ne ferai probablement pas pas quand même, étant un héros local dans la ville de Paressebourg. C'est dans le coin Sud-Ouest de la Lettonie. Oui oui.
-Jack- J'écoute: The Messenger - The Tea Party
-Jack- J'écoute: The Messenger - The Tea Party
9 octobre 2007
Le sommeil, pt.2
Bon j'envisage une autre soirée courte ce soir, mais avant tout, j'ai compris pourquoi je me couchais aussi tard. JE SUIS UN LÂCHE. Ehhhhh ouais. Je me suis rendu compte... en fait quelqu'un m'a fait remarquer ce matin. Je suis trop paresseux pour prendre ma douche, chercher un pyjama (en fait des boxers pis un vieux T-Shirt), ranger ma chambre, faire mon lit et mettre mon réveil. Rien n'a vraiment rapport, c'est juste de la paresse extrême au point d'éviter un besoin essentiel à notre survie. Certains me diront: Mais pauvre naze, et ils ont parfaitement raison héhéhé. Anyway, juste une question de mettre quelques affaires au clair.
-Jack- J'écoute: Autoharp - Hooverphonic
-Jack- J'écoute: Autoharp - Hooverphonic
4 octobre 2007
Le sommeil.
J'ai enfin découvert pourquoi je me couchais aussi tard ces temps-ci, en fait depuis la dernière année, et que l'éternel commentaire «Putain que t'as l'air poqué» me touchait autant, mais ce raisonnement s'établit en étapes.
1- C'est toujours une corvée d'aller me coucher. C'est toujours la même routine à chaque jour, le même lit déprimant, la même douche... Je n'ai aucune raison de m'endormir parce qu'il n'y aura jamais de surprise le lendemain. Rien de changé.
2- Les rêves. Tout le monde racontent leurs rêves le lendemain, mais moi le problème c'est que je ne rêve jamais. Mais jamais. Sinon c'est des cauchemars, comme cette fois que j'ai rêvé que j'étais dans un bar et qu'il fallait que je prenne un pistolet et que j'envoie quelques balles valser dans la tête de mon père, qui m'encouragait. Parfois c'est des expectations que je n'atteindrai jamais, comme cette fois que j'ai rêvé que j'embrassais une fille et juste au moment que je le faisais, je me suis réveillé en sursaut, plus désapointé que jamais. Je rêve bien plus en étant éveillé...
3- Le manque de plaisir à le faire. J'étais avec deux amies hier et elles parlaient de comment elles avaient du plaisir à rester au lit, sommeiller, penser, lire, écouter de la toune, moi je dors pour survivre. Les matins de fin de semaine, je me réveille à 9h, et je me dis que je DOIS dormir plus, pour rattraper toutes les fois que je me suis endormi à 1h-2h du mat', et je me retrouve à me forcer à m'endormir et je réveiller toutes les 5 minutes. Une heure plus tard je me tanne et je me sens encore plus fatigué que jamais.
4- Quand le monde me demandent pourquoi je ne dors pas, je leur sors cette bonne vieille réplique : «Pourquoi dormir la nuit pendant qu'on peut dormir pendant les cours.» Et maintenant je le fais tellement souvent que c'en est maladif. Il ne se passe pas un seul cours sans que je m'endors au moins juste un peu. À force de faire glisser mes coudes sur les bureaux quand je m'endors, ma tête entre mes mains, j'ai des blessures. Sérieux ça saigne des fois.
Comme Camus l'a dit, la première grande question philosophique que tous les philosophes devraient se poser c'est : «Pourquoi je ne me suiciderais pas ce matin.» J'évite cette question en ne dormant juste pas. Mais Camus a également demandé cette question, qui se pose après la première : «Pourquoi je ne resterais pas au lit pour le reste de la journée.»
À part de ça... pas grand chose s'est passé pendant la semaine... bien sur je pourrais vous parler de plein d'affaires, mais tout me semble banal et terne ces temps-ci... l'automne sûrement. Le fait que je suis *légèrement* désillusionné sur plein d'affaires aussi, mais peut-être juste que je manque de sommeil et que ma susceptibilité monte au max, mon impatience. C'est vrai, je suis avant tout un homme violent. Je me le permets maintenant, tristement, à mon détriment. Toutes les personnes qui importent ne filent pas super bien non plus. J'ai besoin de temps seul, mais où peut-on l'être chez moi, avec 5 autres tarés, ou au Cégep... je ne peux même plus aller dehors sans grelotter. L'enfer, c'est les autres... et nous mêmes. Le paradis aussi :)
-Jack- On a day like today - Bryan Adams (HONTE... mais bon des souvenirs d'enfance)
1- C'est toujours une corvée d'aller me coucher. C'est toujours la même routine à chaque jour, le même lit déprimant, la même douche... Je n'ai aucune raison de m'endormir parce qu'il n'y aura jamais de surprise le lendemain. Rien de changé.
2- Les rêves. Tout le monde racontent leurs rêves le lendemain, mais moi le problème c'est que je ne rêve jamais. Mais jamais. Sinon c'est des cauchemars, comme cette fois que j'ai rêvé que j'étais dans un bar et qu'il fallait que je prenne un pistolet et que j'envoie quelques balles valser dans la tête de mon père, qui m'encouragait. Parfois c'est des expectations que je n'atteindrai jamais, comme cette fois que j'ai rêvé que j'embrassais une fille et juste au moment que je le faisais, je me suis réveillé en sursaut, plus désapointé que jamais. Je rêve bien plus en étant éveillé...
3- Le manque de plaisir à le faire. J'étais avec deux amies hier et elles parlaient de comment elles avaient du plaisir à rester au lit, sommeiller, penser, lire, écouter de la toune, moi je dors pour survivre. Les matins de fin de semaine, je me réveille à 9h, et je me dis que je DOIS dormir plus, pour rattraper toutes les fois que je me suis endormi à 1h-2h du mat', et je me retrouve à me forcer à m'endormir et je réveiller toutes les 5 minutes. Une heure plus tard je me tanne et je me sens encore plus fatigué que jamais.
4- Quand le monde me demandent pourquoi je ne dors pas, je leur sors cette bonne vieille réplique : «Pourquoi dormir la nuit pendant qu'on peut dormir pendant les cours.» Et maintenant je le fais tellement souvent que c'en est maladif. Il ne se passe pas un seul cours sans que je m'endors au moins juste un peu. À force de faire glisser mes coudes sur les bureaux quand je m'endors, ma tête entre mes mains, j'ai des blessures. Sérieux ça saigne des fois.
Comme Camus l'a dit, la première grande question philosophique que tous les philosophes devraient se poser c'est : «Pourquoi je ne me suiciderais pas ce matin.» J'évite cette question en ne dormant juste pas. Mais Camus a également demandé cette question, qui se pose après la première : «Pourquoi je ne resterais pas au lit pour le reste de la journée.»
À part de ça... pas grand chose s'est passé pendant la semaine... bien sur je pourrais vous parler de plein d'affaires, mais tout me semble banal et terne ces temps-ci... l'automne sûrement. Le fait que je suis *légèrement* désillusionné sur plein d'affaires aussi, mais peut-être juste que je manque de sommeil et que ma susceptibilité monte au max, mon impatience. C'est vrai, je suis avant tout un homme violent. Je me le permets maintenant, tristement, à mon détriment. Toutes les personnes qui importent ne filent pas super bien non plus. J'ai besoin de temps seul, mais où peut-on l'être chez moi, avec 5 autres tarés, ou au Cégep... je ne peux même plus aller dehors sans grelotter. L'enfer, c'est les autres... et nous mêmes. Le paradis aussi :)
-Jack- On a day like today - Bryan Adams (HONTE... mais bon des souvenirs d'enfance)
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