Je me suis dit... après tout, un blog, c'est un gros ego trip. C'est toujours, post après post, une excuse de parler de soi, de raconter des p'tites histoires, ou ici, de dire comment qu'on se sent. Nos victoires, nos défaites, etc. J'ai rien contre ça, mais je ne peux m'empêcher, très peu modestement, de toujours parler de moi, sans arrêt. C'est comme une auto-expérience. J'espère que ça ne vous emmerde pas trop.
Je suis l'homme à tout faire. Fort, mais pas trop. Intelligent, mais pas trop. L'homme qui n'est pas exceptionnel, mais singulier par son juste milieu. Polyvalent, universel. L'exemple qu'on ne prend jamais, étant dans la moyenne de tout. Malgré ça, une chose que j'ai remarqué c'est le caractère plus extrême de mes sentiments. Si je suis content, je suis en extase. Si je suis en colère, je suis en furie. Si je suis indifférent, je le suis, ironiquement, à l'extrême.
Vous savez, je me suis rendu compte comment la colère et la jalousie sont des alternatives à la tristesse et le spleen, parfois confondant les familles de sentiments. Ça me rend détestable, je sais, mais bon... ça me vient d'une maxime qui dit que la pitié est le pire sentiment qu'on peut ressentir pour quelqu'un, ce qui fait de moi un être qui, malgré parfois irritable et colérique, en fait est, du fond du cœur, un gars qui rêve de jours meilleurs. Et là, je peux dire que je serai légèrement... insupportable au cours des prochains jours, une certaine... source de tristesse m'ayant envahi, et une insupportable jalousie pour un homme qui est en même temps une source d'inspiration et le pire des connards. Un Tybalt Capulet en puissance. Un gars que je tuerais avec le sourire tiré, malgré que je suis son Mercurio. De la chair à canon accidentelle. Bah, peu importe.
Avoir 18 ans, c'est avoir à disponibilité facile des centaines de saveurs d'oubli, car avant, vu la difficulté d'accès aux drogues légales, c'était des sources de plaisir. Adulte, c'est des torrents, des litres d'oubli, de l'oubli filtré et à saveur de menthol. Nicotinomane? Je le deviens, surtout en ces temps-ci, ou rien ne m'empêche de ne pas fumer, car ma vision de l'amour suit des vagues avec le creux de plus en plus creux à chaque fois. Bientôt je verrai l'amour comme une mer d'huile, sinon un cratère salé. Je croyais que ça irait pour le mieux, mais ma tête, comme d'habitude, avait raison. Jeune fou. Tu croyais sérieusement qu'il y a des choses qui marchent dans la vie? C'est vrai... pauvre fou, tu n'es plus jeune, tu ne peux plus te permettre le rêve. Il ne faut pas que tu marches dans des chemins nouveaux, il faut que tu marches dans les pas de quelqu'un d'autre. Dans ce cas-ci, ceux de personne, sinon d'un animal. Qui fume.
Ne me parlez pas de charme. Ni de beauté. C'est les deux pires mots inventés par l'homme, car c'est des choses qui ne peuvent être mesurés, qui changent à chaque personne. J'haïs l'humanité pour avoir créé des gens aussi différents les uns des autres. Je rêve d'une société de robots, ou tout serait si simple. Les gens seraient tous égaux dans leur stupidité, leur ignorance, car c'est dans l'absence qu'est l'absolu, chaque personne étant heureuse, enfin. Plus de différence, plus de différents. Ne me prenez pas pour un nazi, ni un communiste, c'est juste un rêve. D'ailleurs, un rêve dans lequel les hommes et les femmes n'existent pas. Un anti-idéaliste, pas un qui rêve pour sa race, mais pour sa fin. Un paradoxe face à ces deux théories extrêmes. De toutes façons, tous les gens qui réfléchissent sont des connards. Et de première. J'en suis l'exemple plus ou moins vivant.
Ne me parlez plus d'ennui. Ne me parlez plus d'amour. Ne me parlez plus tout court. J'ai appris ma leçon sur l'espoir. Ça m'apprendra à en avoir, bordel. Oui, je suis un environnementaliste, et je respecte énormément la nature, mais, avant tout, nous sommes la dernière génération qui peut utiliser les ressources de la Terre et en gaspiller allègrement, alors profitons-en! Putain, brûlez les, ces ressources, pendant qu'il est encore temps, pendant qu'on est encore vivants! Nos enfants, ils mourront de toutes façons, on le sait bien, et peut-être même pas parce que notre planète se meurt, mais bien parce que l'humanité est en train de s'effondrer sous son propre poids.
J'écris beaucoup pour rien dire ces temps-ci. Je parle toujours de... ces temps-ci, d'ailleurs. J'ai appris à mettre de côté mon passé, mes racines, n'importe quoi que j'étais avant. Je sais qu'est-ce qu'il faut changer chez moi, reste juste à le faire.
L'histoire ne se répète pas.
Elle bégaie.
-Jack- J'écoute: Everyone Nose - N.E.R.D.
Je suis l'homme à tout faire. Fort, mais pas trop. Intelligent, mais pas trop. L'homme qui n'est pas exceptionnel, mais singulier par son juste milieu. Polyvalent, universel. L'exemple qu'on ne prend jamais, étant dans la moyenne de tout. Malgré ça, une chose que j'ai remarqué c'est le caractère plus extrême de mes sentiments. Si je suis content, je suis en extase. Si je suis en colère, je suis en furie. Si je suis indifférent, je le suis, ironiquement, à l'extrême.
Vous savez, je me suis rendu compte comment la colère et la jalousie sont des alternatives à la tristesse et le spleen, parfois confondant les familles de sentiments. Ça me rend détestable, je sais, mais bon... ça me vient d'une maxime qui dit que la pitié est le pire sentiment qu'on peut ressentir pour quelqu'un, ce qui fait de moi un être qui, malgré parfois irritable et colérique, en fait est, du fond du cœur, un gars qui rêve de jours meilleurs. Et là, je peux dire que je serai légèrement... insupportable au cours des prochains jours, une certaine... source de tristesse m'ayant envahi, et une insupportable jalousie pour un homme qui est en même temps une source d'inspiration et le pire des connards. Un Tybalt Capulet en puissance. Un gars que je tuerais avec le sourire tiré, malgré que je suis son Mercurio. De la chair à canon accidentelle. Bah, peu importe.
Avoir 18 ans, c'est avoir à disponibilité facile des centaines de saveurs d'oubli, car avant, vu la difficulté d'accès aux drogues légales, c'était des sources de plaisir. Adulte, c'est des torrents, des litres d'oubli, de l'oubli filtré et à saveur de menthol. Nicotinomane? Je le deviens, surtout en ces temps-ci, ou rien ne m'empêche de ne pas fumer, car ma vision de l'amour suit des vagues avec le creux de plus en plus creux à chaque fois. Bientôt je verrai l'amour comme une mer d'huile, sinon un cratère salé. Je croyais que ça irait pour le mieux, mais ma tête, comme d'habitude, avait raison. Jeune fou. Tu croyais sérieusement qu'il y a des choses qui marchent dans la vie? C'est vrai... pauvre fou, tu n'es plus jeune, tu ne peux plus te permettre le rêve. Il ne faut pas que tu marches dans des chemins nouveaux, il faut que tu marches dans les pas de quelqu'un d'autre. Dans ce cas-ci, ceux de personne, sinon d'un animal. Qui fume.
Ne me parlez pas de charme. Ni de beauté. C'est les deux pires mots inventés par l'homme, car c'est des choses qui ne peuvent être mesurés, qui changent à chaque personne. J'haïs l'humanité pour avoir créé des gens aussi différents les uns des autres. Je rêve d'une société de robots, ou tout serait si simple. Les gens seraient tous égaux dans leur stupidité, leur ignorance, car c'est dans l'absence qu'est l'absolu, chaque personne étant heureuse, enfin. Plus de différence, plus de différents. Ne me prenez pas pour un nazi, ni un communiste, c'est juste un rêve. D'ailleurs, un rêve dans lequel les hommes et les femmes n'existent pas. Un anti-idéaliste, pas un qui rêve pour sa race, mais pour sa fin. Un paradoxe face à ces deux théories extrêmes. De toutes façons, tous les gens qui réfléchissent sont des connards. Et de première. J'en suis l'exemple plus ou moins vivant.
Ne me parlez plus d'ennui. Ne me parlez plus d'amour. Ne me parlez plus tout court. J'ai appris ma leçon sur l'espoir. Ça m'apprendra à en avoir, bordel. Oui, je suis un environnementaliste, et je respecte énormément la nature, mais, avant tout, nous sommes la dernière génération qui peut utiliser les ressources de la Terre et en gaspiller allègrement, alors profitons-en! Putain, brûlez les, ces ressources, pendant qu'il est encore temps, pendant qu'on est encore vivants! Nos enfants, ils mourront de toutes façons, on le sait bien, et peut-être même pas parce que notre planète se meurt, mais bien parce que l'humanité est en train de s'effondrer sous son propre poids.
J'écris beaucoup pour rien dire ces temps-ci. Je parle toujours de... ces temps-ci, d'ailleurs. J'ai appris à mettre de côté mon passé, mes racines, n'importe quoi que j'étais avant. Je sais qu'est-ce qu'il faut changer chez moi, reste juste à le faire.
L'histoire ne se répète pas.
Elle bégaie.
-Jack- J'écoute: Everyone Nose - N.E.R.D.