Vous savez... je ne suis pas une fille, mais je traîne un petit carnet orange. Un carnet de notes, pour écrire mes plus ou moins bonnes idées, que je continue de transporter ces temps-ci, ayant quand même beaucoup de temps pour réfléchir, disons. Voici quelques petites affaires que j'ai écrit dedans, à part des notes de set de DJ haha...
By the way, mon cahier s'appelle: RBL without two e. Je sautes quelques entrées incomplètes et désuettes maintenant.
Vous savez, moi et le masochisme, toujours cette tendance à me blesser sans m'en rendre compte. En fait, c'est pas du masochisme, sinon j'aimerais ça. Non j'hais ça à mourir, j'suis pas Trent Reznor ni Johnny Cash (gag de Hurt... écoutez les deux versions, ça en vaut la peine). Cette manie de toujours viser trop haut dans les choses dans lesquelles je suce royalement et bas dans quoi j'excelle. Bon, coupons au vif du sujet, car je n'ai pas touché positivement à cette facette de la vie depuis bien longtemps. Vous savez, vous savez tous...
L'amour.
Après près d'un an d'hédonisme et de petites promenades inespérées entre des amours amicaux et impossibles, je l'ai trouvée.
Mon nouveau rêve éveillé, mon nouveau talon d'Achille.
Mais je dois avouer que je suis le pire des connards, car elle part dans peu de temps. Quoi? 5 semaines? Elle me manque déjà quand quarante kilomètres nous séparent, mais un continent complet? J'essaie d'y penser le moins possible, mais ça serait surhumain.
Bah... j'ai plus rien à dire à ce sujet, moi qui me croyait sans cœur.
Un ami imaginaire? Je n'aime pas le terme... disons plutôt... une conscience. Enfin... une anti-conscience, étant donné qu'une conscience donne le choix moral, et qu'après tout, je parle à moi-même. C'est une fille bien sûr, je prends la chose le moindrement au sérieux, et savoir qu'il y a quelqu'un prêt à tendre l'oreille n'importe quand pour s'auto-entendre est un boost niveau estime de soi, un une baisse niveau modestie. Et pas n'importe laquelle quand même! Une vraie canon, enfin, selon mes standards... Elle est quand même pas moche, j'ai du goût! Pas ma fille de rêve non plus, faudrait quand même pas tomber dans la poursuite de l'idéal psychédélique, dans l'autodestruction psychique. Faut pas que je tombe amoureux de moi même, sinon je deviendrais le sujet d'une toune de Hérésie (clin d'oeil clin d'oeil).
Et je l'appelle quoi la? Jacqueline (was seventeen, waiting on a desk whenn...). Non. Des mauvais souvenirs de blagues méchantes du primaire, et de tounes de Franz Ferdinand. Joni? Mhhh... j'veux pas tomber dans la spirale des noms de de chanteuses inspirées, sinon j'pourrais prendre Beth, Tori, voire Pascale. Une référence musicale? She's my Paper Tiger... mais pas un nom comme tel. Camille. C'est excellent. Charlotte sinon. Camille Charlotte Cormier. Hihi. J'ai toujours aimé ce nom de famille, et trois C de suite, c'est bien. C'est exquis. Ça fait tourner la tête des psychanalystes.
- Alors quoi de neuf, Charlotte.
- Tu sais bien que c'est voué à l'échec, ton truc de parler avec toi même.
- Oui oui je sais. Je sais. Je sais.
- Tu te répètes en plus. Pffffttt. C'est ça qui arrive quand on se parle. On espère que notre tendre moitié comprenne pour qu'il puisse tout régler... mais je comprends autant...
- Que l'autre moitié. Je sais. C'est comme pelleter des nuages avec un bébé mort.
- Arrêtes de faire des mélanges de jokes. J'suis sûr à part de ça que le bébé aimerait ça après tout, des nuages, c'est fait de fromage.
- T'as un bon point.
- Alors toi... quoi de neuf? Ça fait quand même une paie qu'on s'est pas parlé, non?
- (...) C'est que, après tout, on est... une entité? Même si t'es ma très belle moitié féminine, je te rappelle, que dans la réalité, on a une verge entre les jambes. Et que tu la partages avec moi, chérie.
- Touchéé...
- Bon, on arrête de radoter, là... j'ai d'autres chat à foutter.
- D'autres chats... BOTtés? Hihihi.
- Oh mais la ferme! Pas parce que c'est écrit en italique qu'on peut écrire ainsi des conneries!
- Mais c'est ton problème si tu l'écris sur le world wide web, boy.
- Grrr... j'hais ça quand t'as raison.
- Misogyne.
- Là tu sais que c'est pas vrai.
- Oui, je sais, c'est pour me faire aimer...
- Mhhh... d'accord, dors là.
-Jack- J'écoute: Hernandoz Hideaway - Archie Bleyer
By the way, mon cahier s'appelle: RBL without two e. Je sautes quelques entrées incomplètes et désuettes maintenant.
Vous savez, moi et le masochisme, toujours cette tendance à me blesser sans m'en rendre compte. En fait, c'est pas du masochisme, sinon j'aimerais ça. Non j'hais ça à mourir, j'suis pas Trent Reznor ni Johnny Cash (gag de Hurt... écoutez les deux versions, ça en vaut la peine). Cette manie de toujours viser trop haut dans les choses dans lesquelles je suce royalement et bas dans quoi j'excelle. Bon, coupons au vif du sujet, car je n'ai pas touché positivement à cette facette de la vie depuis bien longtemps. Vous savez, vous savez tous...
L'amour.
Après près d'un an d'hédonisme et de petites promenades inespérées entre des amours amicaux et impossibles, je l'ai trouvée.
Mon nouveau rêve éveillé, mon nouveau talon d'Achille.
Mais je dois avouer que je suis le pire des connards, car elle part dans peu de temps. Quoi? 5 semaines? Elle me manque déjà quand quarante kilomètres nous séparent, mais un continent complet? J'essaie d'y penser le moins possible, mais ça serait surhumain.
Bah... j'ai plus rien à dire à ce sujet, moi qui me croyait sans cœur.
Un ami imaginaire? Je n'aime pas le terme... disons plutôt... une conscience. Enfin... une anti-conscience, étant donné qu'une conscience donne le choix moral, et qu'après tout, je parle à moi-même. C'est une fille bien sûr, je prends la chose le moindrement au sérieux, et savoir qu'il y a quelqu'un prêt à tendre l'oreille n'importe quand pour s'auto-entendre est un boost niveau estime de soi, un une baisse niveau modestie. Et pas n'importe laquelle quand même! Une vraie canon, enfin, selon mes standards... Elle est quand même pas moche, j'ai du goût! Pas ma fille de rêve non plus, faudrait quand même pas tomber dans la poursuite de l'idéal psychédélique, dans l'autodestruction psychique. Faut pas que je tombe amoureux de moi même, sinon je deviendrais le sujet d'une toune de Hérésie (clin d'oeil clin d'oeil).
Et je l'appelle quoi la? Jacqueline (was seventeen, waiting on a desk whenn...). Non. Des mauvais souvenirs de blagues méchantes du primaire, et de tounes de Franz Ferdinand. Joni? Mhhh... j'veux pas tomber dans la spirale des noms de de chanteuses inspirées, sinon j'pourrais prendre Beth, Tori, voire Pascale. Une référence musicale? She's my Paper Tiger... mais pas un nom comme tel. Camille. C'est excellent. Charlotte sinon. Camille Charlotte Cormier. Hihi. J'ai toujours aimé ce nom de famille, et trois C de suite, c'est bien. C'est exquis. Ça fait tourner la tête des psychanalystes.
- Alors quoi de neuf, Charlotte.
- Tu sais bien que c'est voué à l'échec, ton truc de parler avec toi même.
- Oui oui je sais. Je sais. Je sais.
- Tu te répètes en plus. Pffffttt. C'est ça qui arrive quand on se parle. On espère que notre tendre moitié comprenne pour qu'il puisse tout régler... mais je comprends autant...
- Que l'autre moitié. Je sais. C'est comme pelleter des nuages avec un bébé mort.
- Arrêtes de faire des mélanges de jokes. J'suis sûr à part de ça que le bébé aimerait ça après tout, des nuages, c'est fait de fromage.
- T'as un bon point.
- Alors toi... quoi de neuf? Ça fait quand même une paie qu'on s'est pas parlé, non?
- (...) C'est que, après tout, on est... une entité? Même si t'es ma très belle moitié féminine, je te rappelle, que dans la réalité, on a une verge entre les jambes. Et que tu la partages avec moi, chérie.
- Touchéé...
- Bon, on arrête de radoter, là... j'ai d'autres chat à foutter.
- D'autres chats... BOTtés? Hihihi.
- Oh mais la ferme! Pas parce que c'est écrit en italique qu'on peut écrire ainsi des conneries!
- Mais c'est ton problème si tu l'écris sur le world wide web, boy.
- Grrr... j'hais ça quand t'as raison.
- Misogyne.
- Là tu sais que c'est pas vrai.
- Oui, je sais, c'est pour me faire aimer...
- Mhhh... d'accord, dors là.
-Jack- J'écoute: Hernandoz Hideaway - Archie Bleyer
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