Aujourd'hui j'ai senti le désespoir, le vrai, qui joue avec vos sens et que vous sentez monter dans vos membres, comme si la mort elle-même vous avait choisi. Je ne vis plus. Mon seul salut s'est envolé en fumée. Je me meurs. Je ne peux pas pleurer, malgré mon coeur tiraillé entre deux corbeaux, se séparant ce qui me reste de bon sens. C'est le gouffre, l'abîme, la fin des temps qui m'encercle. J'ai froid, mais c'est un froid intérieur qui envahit mes alentours. Je veux être nulle part. Je veux être personne. Je veux juste arrêter de souffrir, de penser, d'aimer. Une fois de plus, la vie m'a trahi avec un sourire. Une fois de plus, je me suis fait berner par moi-même, rêvant d'un avenir. J'éloigne le présent et je m'ensable dans le passé. Poison où es-tu, qui me permet d'oublier mes sens et de lentement m'éteindre sans me tuer. Je ne sens plus rien. Je ne vaux plus rien. JE VEUX DISPARAÎTRE. Des sanglots traversent mes veines et restent enfermés sous ma peau où ils grandiront pour créér un monstre hideux qui deviendra bientôt moi-même. La lumière est fade, la vie est grise, mes raisons de vivre se sont écroulées comme un château de cartes, le souffle provocateur venant de celle à qui j'aurais donné ma vie. La pensée, ce que j'ai appris ne me fait que maudir de plus en plus ma naissance, ma croissance en ce être difforme. Je suis épuisé. Je... je ne sais juste plus.
-
29 octobre 2007
24 octobre 2007
De ces idées...
J'ai une de ces idées d'histoire que j'écrirerai pendant que... j'aurai le temps quoi! Sûrement pendant la mi-session, mais pour l'instant, c'est le sommeil et le party, donc... un avant l'autre, quoi!
Bonne nuit la,
-Jack-
Bonne nuit la,
-Jack-
18 octobre 2007
In Rainbows...
Je sais pas, ça me tentait juste d'écrire un post impromptu, tout de suite, la, pour le plaisir, parce que pour l'instant, à part mes notes d'école qui dégringolent de plus en plus à chaque jour à cause de profs incompétents (je m'ennuie de vous, Annick, Annie, Suzanne et tous bon profs que j'ai eu avant!) et, je dois dire, dans UNE matière (physique), à cause d'un étude insuffisante. Je suis en train de finir l'analyse de mon laboratoire de physique avec lequel j'ai compris comment utiliser Excel, mais bon. J'écris parce qu'à force d'écouter du Radiohead, je me sens AMOUREUX! Hahaha ouais je suis content tout d'un coup, heureux de tout tout tout.. juste exprimer ça au reste du monde ouais... Tuka... assez écrit, faut que je finis mon laboratoire pis que je fasse les CDs de demain pour la radio, mais bon... c'était une émotion de courte durée, sans fondement non plus... à part Radiohead. Donc... salut!
-Jack-
-Jack-
15 octobre 2007
En bonne compagnie...
Je suis dans la merde. Bon ouais j'me plains encore blablablabla, mais je me plains au fond de moi-même, parce que c'est moi qui ne fait rien! Bahhh... cette fin de semaine a été bien peu productive, enfilant des pratiques d'orchestre, des quilles, un party et finalement du brettage sur Halo... ouais je sais, c'est la honte. Si ya des filles qui lisent mon blogue, ouais c'est un peu honteux de dire qu'on joue à des jeux video, mais trouvez un gars qui n'y joue pas... mais avant tout, je favoriserais ma blonde, ne vous inquiétez pas... si seulement j'en avais une. Bon! Plus de plaignage! Ouais, l'orchestre... je dois dire qu'on commencer à torcher mal sale à la contrebasse... ben au moins à connaître les notes. Les quilles, putain que je suis le pire des nazes... au début j'avais réussi à avoir un score convenable, genre 80+, mais à la deuxième ronde, j'ai fait un score *minable* de 22! Je checkais une ptite de 8 ans à côté de moi pis à la moitié de son match, elle avait déjà 34. C'est dans ces temps-là qu'on se rend compte de comment... ben... comment je suce au bowling! Anyway... le party c'était chum... tout le monde est parti a 2h du mat', mais ça m'a permis de me reposer après une semaine chargée à rien faire et me coucher tard, et ainsi j'ai eu la plus longue nuit de la semaine, de 2h30 à 10h... super! En passant, bonne fête encore Andy! Au moins tes cadeaux m'ont permis de tester mes skillz de peinture à l'émail sur des CDs... je suce à peinturer itou. Oh... pendant que j'y pense, j'ai quelque chose à vous partager. J'HAÏS L'AUTOMNE! Bon maintenant que ça c'est mis de côté, il est temps que je travaille mes maths, que je ne ferai probablement pas pas quand même, étant un héros local dans la ville de Paressebourg. C'est dans le coin Sud-Ouest de la Lettonie. Oui oui.
-Jack- J'écoute: The Messenger - The Tea Party
-Jack- J'écoute: The Messenger - The Tea Party
9 octobre 2007
Le sommeil, pt.2
Bon j'envisage une autre soirée courte ce soir, mais avant tout, j'ai compris pourquoi je me couchais aussi tard. JE SUIS UN LÂCHE. Ehhhhh ouais. Je me suis rendu compte... en fait quelqu'un m'a fait remarquer ce matin. Je suis trop paresseux pour prendre ma douche, chercher un pyjama (en fait des boxers pis un vieux T-Shirt), ranger ma chambre, faire mon lit et mettre mon réveil. Rien n'a vraiment rapport, c'est juste de la paresse extrême au point d'éviter un besoin essentiel à notre survie. Certains me diront: Mais pauvre naze, et ils ont parfaitement raison héhéhé. Anyway, juste une question de mettre quelques affaires au clair.
-Jack- J'écoute: Autoharp - Hooverphonic
-Jack- J'écoute: Autoharp - Hooverphonic
4 octobre 2007
Le sommeil.
J'ai enfin découvert pourquoi je me couchais aussi tard ces temps-ci, en fait depuis la dernière année, et que l'éternel commentaire «Putain que t'as l'air poqué» me touchait autant, mais ce raisonnement s'établit en étapes.
1- C'est toujours une corvée d'aller me coucher. C'est toujours la même routine à chaque jour, le même lit déprimant, la même douche... Je n'ai aucune raison de m'endormir parce qu'il n'y aura jamais de surprise le lendemain. Rien de changé.
2- Les rêves. Tout le monde racontent leurs rêves le lendemain, mais moi le problème c'est que je ne rêve jamais. Mais jamais. Sinon c'est des cauchemars, comme cette fois que j'ai rêvé que j'étais dans un bar et qu'il fallait que je prenne un pistolet et que j'envoie quelques balles valser dans la tête de mon père, qui m'encouragait. Parfois c'est des expectations que je n'atteindrai jamais, comme cette fois que j'ai rêvé que j'embrassais une fille et juste au moment que je le faisais, je me suis réveillé en sursaut, plus désapointé que jamais. Je rêve bien plus en étant éveillé...
3- Le manque de plaisir à le faire. J'étais avec deux amies hier et elles parlaient de comment elles avaient du plaisir à rester au lit, sommeiller, penser, lire, écouter de la toune, moi je dors pour survivre. Les matins de fin de semaine, je me réveille à 9h, et je me dis que je DOIS dormir plus, pour rattraper toutes les fois que je me suis endormi à 1h-2h du mat', et je me retrouve à me forcer à m'endormir et je réveiller toutes les 5 minutes. Une heure plus tard je me tanne et je me sens encore plus fatigué que jamais.
4- Quand le monde me demandent pourquoi je ne dors pas, je leur sors cette bonne vieille réplique : «Pourquoi dormir la nuit pendant qu'on peut dormir pendant les cours.» Et maintenant je le fais tellement souvent que c'en est maladif. Il ne se passe pas un seul cours sans que je m'endors au moins juste un peu. À force de faire glisser mes coudes sur les bureaux quand je m'endors, ma tête entre mes mains, j'ai des blessures. Sérieux ça saigne des fois.
Comme Camus l'a dit, la première grande question philosophique que tous les philosophes devraient se poser c'est : «Pourquoi je ne me suiciderais pas ce matin.» J'évite cette question en ne dormant juste pas. Mais Camus a également demandé cette question, qui se pose après la première : «Pourquoi je ne resterais pas au lit pour le reste de la journée.»
À part de ça... pas grand chose s'est passé pendant la semaine... bien sur je pourrais vous parler de plein d'affaires, mais tout me semble banal et terne ces temps-ci... l'automne sûrement. Le fait que je suis *légèrement* désillusionné sur plein d'affaires aussi, mais peut-être juste que je manque de sommeil et que ma susceptibilité monte au max, mon impatience. C'est vrai, je suis avant tout un homme violent. Je me le permets maintenant, tristement, à mon détriment. Toutes les personnes qui importent ne filent pas super bien non plus. J'ai besoin de temps seul, mais où peut-on l'être chez moi, avec 5 autres tarés, ou au Cégep... je ne peux même plus aller dehors sans grelotter. L'enfer, c'est les autres... et nous mêmes. Le paradis aussi :)
-Jack- On a day like today - Bryan Adams (HONTE... mais bon des souvenirs d'enfance)
1- C'est toujours une corvée d'aller me coucher. C'est toujours la même routine à chaque jour, le même lit déprimant, la même douche... Je n'ai aucune raison de m'endormir parce qu'il n'y aura jamais de surprise le lendemain. Rien de changé.
2- Les rêves. Tout le monde racontent leurs rêves le lendemain, mais moi le problème c'est que je ne rêve jamais. Mais jamais. Sinon c'est des cauchemars, comme cette fois que j'ai rêvé que j'étais dans un bar et qu'il fallait que je prenne un pistolet et que j'envoie quelques balles valser dans la tête de mon père, qui m'encouragait. Parfois c'est des expectations que je n'atteindrai jamais, comme cette fois que j'ai rêvé que j'embrassais une fille et juste au moment que je le faisais, je me suis réveillé en sursaut, plus désapointé que jamais. Je rêve bien plus en étant éveillé...
3- Le manque de plaisir à le faire. J'étais avec deux amies hier et elles parlaient de comment elles avaient du plaisir à rester au lit, sommeiller, penser, lire, écouter de la toune, moi je dors pour survivre. Les matins de fin de semaine, je me réveille à 9h, et je me dis que je DOIS dormir plus, pour rattraper toutes les fois que je me suis endormi à 1h-2h du mat', et je me retrouve à me forcer à m'endormir et je réveiller toutes les 5 minutes. Une heure plus tard je me tanne et je me sens encore plus fatigué que jamais.
4- Quand le monde me demandent pourquoi je ne dors pas, je leur sors cette bonne vieille réplique : «Pourquoi dormir la nuit pendant qu'on peut dormir pendant les cours.» Et maintenant je le fais tellement souvent que c'en est maladif. Il ne se passe pas un seul cours sans que je m'endors au moins juste un peu. À force de faire glisser mes coudes sur les bureaux quand je m'endors, ma tête entre mes mains, j'ai des blessures. Sérieux ça saigne des fois.
Comme Camus l'a dit, la première grande question philosophique que tous les philosophes devraient se poser c'est : «Pourquoi je ne me suiciderais pas ce matin.» J'évite cette question en ne dormant juste pas. Mais Camus a également demandé cette question, qui se pose après la première : «Pourquoi je ne resterais pas au lit pour le reste de la journée.»
À part de ça... pas grand chose s'est passé pendant la semaine... bien sur je pourrais vous parler de plein d'affaires, mais tout me semble banal et terne ces temps-ci... l'automne sûrement. Le fait que je suis *légèrement* désillusionné sur plein d'affaires aussi, mais peut-être juste que je manque de sommeil et que ma susceptibilité monte au max, mon impatience. C'est vrai, je suis avant tout un homme violent. Je me le permets maintenant, tristement, à mon détriment. Toutes les personnes qui importent ne filent pas super bien non plus. J'ai besoin de temps seul, mais où peut-on l'être chez moi, avec 5 autres tarés, ou au Cégep... je ne peux même plus aller dehors sans grelotter. L'enfer, c'est les autres... et nous mêmes. Le paradis aussi :)
-Jack- On a day like today - Bryan Adams (HONTE... mais bon des souvenirs d'enfance)
23 septembre 2007
Fauché.
Bon, ça y est, je suis officiellement fauché, et ce à cause de mes putains de réparations sur mon char. Je dois me chercher une job et l'organiser au plus sacrant, car comment continer sans mon... "mode de vie onéreux", hahaha. Rien de nouveau/spécial/incroyable/fin du monde cette semaine non plus, à part une critique du nouveau resident evil: C'EST LE PIRE FILM QUE J'AI VU DE MA VIE! Putain que c'était tordant comme film, genre les incongruités pis les zombies trop bidons. Tuka... moi je pars à la recherche d'un emploi la, et désolé pour le post non-constructif/court/qui ne veut rien dire, mais je n'ai vraiment pas beaucoup d'inspiration aujourd'hui, donc j'vous reviens un de ces 4 avec plus de mots, ouais!
-Jack-
-Jack-
15 septembre 2007
FYI
C'est chumm qu'il y a du monde qui apprécient les mauvais rimes hahaha.... mais bon, j'vais peut-être répéter l'expérience parce que parfois il y a tellement peu à dire que je pourrais le faire en rimant, c'est plus drôle... anyway je suis encore dans ma passe rap (Aesop Rock, ça torche!). Mais bon moi dans à peu près 30 minutes à mon premier match de paintball, et j'essaie quand même de faire ça vite, de toutes façons, ça doit pas faire aussi mal qu'un BB dans le cul, hein JD? Putain de soirée hier. Disons qu'entre le poker, les coffres à débarrer, le Crush à l'orange et Alpha Dog, il y a eu de l'action héhé. Ne vous inquiétez vous pas, rien de sale. Rien de dur. (En passant, j'écoute encore Aesop Rock - None Shall Pass pis plus que je l'écoute plus que je me dis, putain que c'est hot.) Tuka...
En passant, Dumais m'a soulevé ce point: Lui, quand il passe en char, parfois, les lumières s'allument, et c'était également le cas de Louis-Antoine, mais moi, les putains de lumières S'ÉTEIGNENT. On est confronté maintenant à deux choix, si c'est un signe de Dieu, ou c'est simplement les aléas des fonds publics investis. Si c'était un acte de Dieu, est-ce que ça veut dire que j'émets de la lumière ou je suis... NOIR (héhé), Bon c'est vraiment stupide comme question, mais si vous voyez à chaque jour une lumière qui s'éteint, vous commencez à vous poser des questions. En plus, je me demande, vu que je ne peux me sentir, qu'est-ce que je sens? Parce que tout amant/e sait qu'on reconnait l'amour à l'odeur, étant le sens le plus évocateur de souvenirs. J'espère que je ne sens pas le bon rappeur, ni la dèche de cheval non plus. Ça faisait pas trop longtemps, j'espérais devenir un Nez dans une usine de parfums, tsé le mec qui détermine les nouveaux parfums en mélangeant tel pis tel pis tel? Tuka, ces rêves se sont brisés (bouhouhou). Prenez ça comme un aveu personnel.
Une autre semaine de passée,
Aussi plate que toutes celles que j'ai oublié,
Au moins j'ai réalisé le rêve d'une amie,
Mais Dieu sait qu'il y a eu des cris,
Quand je l'ai redescendue de l'arbre où elle était montée,
Mais les rires qui ont suivi m'ont tout fait oublier,
Les devoirs que j'avais encore à faire,
De toutes façons les profs on arrive pas à les faire taire.
I would say I would just go into hip hop, yo,
Cuz i got all those bills I've gotta stop, yo
Not as the guy writing lyrics and kicking them to your brain,
But as the one scratching and grooving the stage off, not in vain,
The one that won't get on hard drugs and pimping hoes,
But the one that will always do good shows.
You understand me, dontya?
Otherwise it's cuz you ain't a playa,
So shut up, move and dance to the music,
C'mon shake those hips like you're frantic.
Hahaha c'mon motherfuckers! (x4)
-Jack- Est-ce moi, ou ça sent l'ironie?
En passant, Dumais m'a soulevé ce point: Lui, quand il passe en char, parfois, les lumières s'allument, et c'était également le cas de Louis-Antoine, mais moi, les putains de lumières S'ÉTEIGNENT. On est confronté maintenant à deux choix, si c'est un signe de Dieu, ou c'est simplement les aléas des fonds publics investis. Si c'était un acte de Dieu, est-ce que ça veut dire que j'émets de la lumière ou je suis... NOIR (héhé), Bon c'est vraiment stupide comme question, mais si vous voyez à chaque jour une lumière qui s'éteint, vous commencez à vous poser des questions. En plus, je me demande, vu que je ne peux me sentir, qu'est-ce que je sens? Parce que tout amant/e sait qu'on reconnait l'amour à l'odeur, étant le sens le plus évocateur de souvenirs. J'espère que je ne sens pas le bon rappeur, ni la dèche de cheval non plus. Ça faisait pas trop longtemps, j'espérais devenir un Nez dans une usine de parfums, tsé le mec qui détermine les nouveaux parfums en mélangeant tel pis tel pis tel? Tuka, ces rêves se sont brisés (bouhouhou). Prenez ça comme un aveu personnel.
Une autre semaine de passée,
Aussi plate que toutes celles que j'ai oublié,
Au moins j'ai réalisé le rêve d'une amie,
Mais Dieu sait qu'il y a eu des cris,
Quand je l'ai redescendue de l'arbre où elle était montée,
Mais les rires qui ont suivi m'ont tout fait oublier,
Les devoirs que j'avais encore à faire,
De toutes façons les profs on arrive pas à les faire taire.
I would say I would just go into hip hop, yo,
Cuz i got all those bills I've gotta stop, yo
Not as the guy writing lyrics and kicking them to your brain,
But as the one scratching and grooving the stage off, not in vain,
The one that won't get on hard drugs and pimping hoes,
But the one that will always do good shows.
You understand me, dontya?
Otherwise it's cuz you ain't a playa,
So shut up, move and dance to the music,
C'mon shake those hips like you're frantic.
Hahaha c'mon motherfuckers! (x4)
-Jack- Est-ce moi, ou ça sent l'ironie?
9 septembre 2007
Je sais pas, mais...
ça me tente de faire un post qui rime (putain ça marche ce truc de continuer le titre dans l'entrée comme tel). Je sais pas, juste pour le plaisir de faire quelque chose de drole... j'espère. Au pire, quelqu'un en fera un rap *son de scratch* yeah.
Alors cette semaine j'ai pas fait grand chose,
Et maintenant je fais un post qui rime tandis que j'suis habitué à de la prose,
Je sais pas trop ces temps-ci j'écoute juste du rap,
Pendant que je manque mes rendez-vous du nouveau Skrap,
À cause d'une question d'entrainement au Cégep,
Putain que j'étais racké, pendant deux jours j'ai manqué de... pep.
Vendredi on a passé une belle soirée sur la terrasse de la brûlerie,
On jasé, on a bu, on a mangé, on a ri,
Maintenant j'essaie de faire des devoirs,
Mais putain je ne peux plus rien savoir,
Ma concentration est voulue sur 5 continents,
Je sais bien que je la retrouverai, mais ce n'est pas pertinent,
quand on peut la remplacer avec du café,
la cocaine légale, la drogue des faux camés.
C'est vraiment naze kess j'écris,
Donc ma arrêter là avant que je dis trop de conneries,
Donc je vous laisse, lecteurs assidus,
Malgré ceux que j'ai du laisser, perdus.
Esprit, que j'ai du temps à perdre et rien à dire.
-Jack- J'écoute... du rap :P
Alors cette semaine j'ai pas fait grand chose,
Et maintenant je fais un post qui rime tandis que j'suis habitué à de la prose,
Je sais pas trop ces temps-ci j'écoute juste du rap,
Pendant que je manque mes rendez-vous du nouveau Skrap,
À cause d'une question d'entrainement au Cégep,
Putain que j'étais racké, pendant deux jours j'ai manqué de... pep.
Vendredi on a passé une belle soirée sur la terrasse de la brûlerie,
On jasé, on a bu, on a mangé, on a ri,
Maintenant j'essaie de faire des devoirs,
Mais putain je ne peux plus rien savoir,
Ma concentration est voulue sur 5 continents,
Je sais bien que je la retrouverai, mais ce n'est pas pertinent,
quand on peut la remplacer avec du café,
la cocaine légale, la drogue des faux camés.
C'est vraiment naze kess j'écris,
Donc ma arrêter là avant que je dis trop de conneries,
Donc je vous laisse, lecteurs assidus,
Malgré ceux que j'ai du laisser, perdus.
Esprit, que j'ai du temps à perdre et rien à dire.
-Jack- J'écoute... du rap :P
2 septembre 2007
Oula... mais quel fouillis
Bon, je dois dire que ça fait un bail que j'ai pas écrit ici, mais bon, qui est à plaindre? Mes centaines de lecteurs? Anyway, j'ai du décevoir comme... une demi-douzaine (Six, ya un mot pour ça, c'est six! - Louis-José Houde), mais me revoici dans mes jérémiades quotidiennes sans but ni fondement. Ouais ça fait maintenant deux semaines que je suis au Cégep et c'est pendant cette fin de semaine de trois jours que je me rattrape dans tous les devoirs auquels j'ai lagué au cours des 14 jours de paresse intensive. Pendant ce temps, comme d'habitude, je flambe de l'argent en CDs, et je me demande si je devrais encore écrire ici juste pour documenter ce qui est flagrant : ma routine. Ouais il y a eu des hauts et des bas, mais rien de super incroyablement flippant à fond. Bon, les faits saillants:
- Soirée électro vendredi pour le festi-jazz, avec aKido (j'espère que j'ai mis en majuscule la bonne lettre) et Plaster, en la douce compagnie des filles - Andy, Carolann, Joséanne (je ne sais jamais comment écrire les noms putain), Léah, Marie-Audrey, Myriam et Rosa. En passant, afin d'éviter le favoritisme de noms menant aux RUMEURS de moi qui sort avec une fille. Merde. Et deux gars itou, Antoine pis Étienne Chénard. Je sais pas pourquoi, je rajoute tjrs le Chénard après, comme s'il y avait trop d'Étiennes dans ma vie. Vie sociale, je veux dire. Faut toujours penser aux mendiants de potins, esprit. Toujours tout mettre au clair. Faut dire qu'avec mon statut de rock star, héhé.
- Hé j'y pense, et ya pas grand chose d'autre à souligner, à part des aventures quotidiennes, mais j'veux pas m'enfoncer dans le blogue à la Gab, où je peux parler des heures de temps sur comment j'ai pas trouvé des gants à vaisselle au dep' du coin (sans offense Gab ;). C'est vrai que j'peux embarquer dans toutes les conversations qu'on a eu à la Brul, car c'est pas mal le rond-point de tout le monde (koff*mineur*koff) qui a une certaine vie sociale urbaine (sans offense aux autres), car après tout, où pourrait-on aller? Au Tim? À la piquerie? À la plage de Ste-Luce? Au McDo? Tuka... assez louangé cet endroit.
- Je suis en DÉSORDRE parce que j'ai acheté mes cartables après avoir commencé mes cours. Nononononon. Ça ne marche pas de-même chez moi, car maintenant j'ai plein de livres qui contiennent des cahiers/plans de cours, tandis qu'il y a une pile de cartables vides qui traînent au fond de mon casier, parce que je suis trop paresseux pour finir la job. Tu parles d'un lâche.
- Ça m'arrive dernièrement de me faire demander, quand je suis avec une fille, si on veut une facture ensemble ou individuelle. J'ai tu vraiment l'air autant en amour que ça? J'ai pourtant perfectionné mon look - je-suis-alcoolique-laissez-moi-tranquille-je-veux-juste-payer-mon-café-parce-que-je-suis-mineur-pis-je-peux-pas-aller-dans-les-bars - et même à ça, on me pointe l'improbable, moi étant en relation amoureuse à deux sens. Moi étant habitué aux sens-unique, malgré mon habitude de rentrer dans ces rues, même au niveau de ma conduite automobile, à mon grand désarroi. Sérieusement, on conduit comme on aime. Moi c'est passionné et maladroit, et je stalle toujours en compagnie d'une autre personne. Est-ce qu'il y a un lien avec ma vie si toutes les portes du côté droit ne peuvent s'ouvrir? Freudiens aidez-moi.
Tuka, assez baragouiné sur des absurdités pour cette semaine. Vous savez, j'ai dit que j'allais écrire plus? Je pense que ça tiendra pas. D'ailleurs, c'est bien connu que je peux seulement parler de musique, du mot cagit pis de comment on parle de ces deux sujets tout le temps.
-Jack- Qui aurait plus fait le party que de rester ici.
- Soirée électro vendredi pour le festi-jazz, avec aKido (j'espère que j'ai mis en majuscule la bonne lettre) et Plaster, en la douce compagnie des filles - Andy, Carolann, Joséanne (je ne sais jamais comment écrire les noms putain), Léah, Marie-Audrey, Myriam et Rosa. En passant, afin d'éviter le favoritisme de noms menant aux RUMEURS de moi qui sort avec une fille. Merde. Et deux gars itou, Antoine pis Étienne Chénard. Je sais pas pourquoi, je rajoute tjrs le Chénard après, comme s'il y avait trop d'Étiennes dans ma vie. Vie sociale, je veux dire. Faut toujours penser aux mendiants de potins, esprit. Toujours tout mettre au clair. Faut dire qu'avec mon statut de rock star, héhé.
- Hé j'y pense, et ya pas grand chose d'autre à souligner, à part des aventures quotidiennes, mais j'veux pas m'enfoncer dans le blogue à la Gab, où je peux parler des heures de temps sur comment j'ai pas trouvé des gants à vaisselle au dep' du coin (sans offense Gab ;). C'est vrai que j'peux embarquer dans toutes les conversations qu'on a eu à la Brul, car c'est pas mal le rond-point de tout le monde (koff*mineur*koff) qui a une certaine vie sociale urbaine (sans offense aux autres), car après tout, où pourrait-on aller? Au Tim? À la piquerie? À la plage de Ste-Luce? Au McDo? Tuka... assez louangé cet endroit.
- Je suis en DÉSORDRE parce que j'ai acheté mes cartables après avoir commencé mes cours. Nononononon. Ça ne marche pas de-même chez moi, car maintenant j'ai plein de livres qui contiennent des cahiers/plans de cours, tandis qu'il y a une pile de cartables vides qui traînent au fond de mon casier, parce que je suis trop paresseux pour finir la job. Tu parles d'un lâche.
- Ça m'arrive dernièrement de me faire demander, quand je suis avec une fille, si on veut une facture ensemble ou individuelle. J'ai tu vraiment l'air autant en amour que ça? J'ai pourtant perfectionné mon look - je-suis-alcoolique-laissez-moi-tranquille-je-veux-juste-payer-mon-café-parce-que-je-suis-mineur-pis-je-peux-pas-aller-dans-les-bars - et même à ça, on me pointe l'improbable, moi étant en relation amoureuse à deux sens. Moi étant habitué aux sens-unique, malgré mon habitude de rentrer dans ces rues, même au niveau de ma conduite automobile, à mon grand désarroi. Sérieusement, on conduit comme on aime. Moi c'est passionné et maladroit, et je stalle toujours en compagnie d'une autre personne. Est-ce qu'il y a un lien avec ma vie si toutes les portes du côté droit ne peuvent s'ouvrir? Freudiens aidez-moi.
Tuka, assez baragouiné sur des absurdités pour cette semaine. Vous savez, j'ai dit que j'allais écrire plus? Je pense que ça tiendra pas. D'ailleurs, c'est bien connu que je peux seulement parler de musique, du mot cagit pis de comment on parle de ces deux sujets tout le temps.
-Jack- Qui aurait plus fait le party que de rester ici.
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